Dans une ville fictive, tout commence souvent par un symbole. Une silhouette. Une empreinte.

Voici le logo officiel de L’univers de Méthée, la saga littéraire que je développe depuis plusieurs années. Pensé comme un sceau visuel de l’univers, il incarne à lui seul l’esprit de la ville et des récits qui s’y déroulent.
Une ville stylisée, entre béton et récit
Au premier regard, on distingue une skyline stylisée qui domine fièrement le mot MÉTHÉE. Cette silhouette urbaine n’est pas abstraite : elle reflète la structure même de la ville telle qu’elle vit dans mes romans.
À gauche, les pavillons des quartiers résidentiels aisés, calmes, presque repliés sur eux-mêmes. Au centre, le cœur vibrant de Méthée, avec ses tours et ses artères denses, véritable centre des affaires, des pouvoirs, des flux humains. Et à droite, le port, à la fois ancré dans l’histoire et ouvert aux trafics modernes : lieu touristique en façade, mais aussi plaque tournante de tout ce que la ville peut abriter de louche ou de souterrain.
Ici, le logo ne cherche pas à dissimuler un message dans la forme : il illustre l’ordre urbain et social de Méthée, sa répartition des forces, ses déséquilibres. Il montre une ville en tension permanente, où les lieux parlent autant que les hommes.
De la petite maison isolée à la tour arrogante, chaque élément évoque un écart social, une tension. Méthée n’est pas une ville paisible : c’est une cité en proie à ses contradictions, à ses affrontements, à ses héros fatigués et ses voyous charismatiques.
Couleurs et matières : entre roman noir et lumière dorée
Le cercle brun évoque l’obscurité du bitume, la nuit des villes, les rues où se croisent les destins. Autour, un liseré doré trace une frontière, un écrin. Car même dans les ténèbres, il y a toujours une étincelle, une quête, une lumière.
Le doré, c’est aussi la valeur humaine que j’essaie de préserver dans mes récits. Les personnages de Méthée, aussi cabossés soient-ils, cherchent toujours à retrouver un sens, un lien, une vérité.
Un logo rond, comme un sceau, un engagement
La forme circulaire n’est pas anodine. Elle évoque un sceau, presque un blason. Comme si chaque roman de Méthée s’inscrivait dans une tradition, un pacte avec le lecteur : celui d’explorer une ville fictive, mais crédible. Un monde de fiction, mais profondément humain.
Une identité littéraire assumée
Ce logo n’est pas là pour “faire joli”. Il signe une ambition : celle de proposer des histoires indépendantes mais connectées, où chaque roman explore une facette de Méthée, ses ruelles, ses figures, ses drames. C’est une ville-monde. Et ce cercle, c’est sa boussole.
On le retrouve ainsi apposé sur chaque œuvre issue de L’univers de Méthée — romans, nouvelles, films, et peut-être un jour, bandes dessinées… Car Méthée est un territoire narratif en expansion, un monde à arpenter sous tous les formats.
Laisser un commentaire