Replay
Et si l’on pouvait rejouer sa propre histoire ?
Voyage dans le temps, catastrophes imprévues et autodérision.
Rire de soi, rire du monde, rire du drame.
L’humour comme un miroir, un exutoire, une manière d’avancer.
Mes récits humoristiques
(Con)finés
La pandémie comme vous ne l’avez jamais lue : parodie, absurdité et satire.
Parce qu’il fallait bien en rire.
Rire de nos faiblesses
L’humour, c’est d’abord accepter qu’on est ridicule.
Replay, c’est le récit d’un type qui veut corriger ses erreurs en revenant deux ans en arrière.
Mais chaque “bonne” décision crée un nouveau désastre. Comme dans la vie : on s’imagine brillant… et on se plante avec panache.
Le rire vient de là. Nos contradictions, nos faiblesses, nos illusions.
Rire de la société
Parce que parfois, il n’y a que ça à faire.
Avec (Con)finés, je me suis amusé à mettre en scène les paradoxes de la pandémie :
- Les pangolins stigmatisés
- Les masques qu’on met de travers
- Les vaccins tantôt sacrés, tantôt diabolisés
Rire de ces contradictions, c’est une façon de les digérer, d’avancer. Pas pour se moquer, mais pour relativiser.
Rire de soi (et de ses drames)
Parce que l’humour est aussi un exutoire.
Sans que je m’en rende compte, j’ai écrit deux récits qui parlaient aussi de moi, de mes expériences.
Je suis pudique. Mais écrire avec humour, c’est une manière de dédramatiser, d’accepter, de se dépasser.
Rire, c’est un acte de lucidité. Un refus du pathos. Un pas de côté pour dire : “oui, ça fait mal… mais je choisis d’en rire.”
Échos de lecture
Quand les lecteurs rient, c’est gagné.
FAQ
Peut-on rire de tout ?
Oui, mais je pense qu'on ne peut cependant pas imposer aux autres ce qui nous fait rire. Mais on peut rire de beaucoup de choses, surtout si c’est pour apaiser et réfléchir.
L’humour, ce n’est pas se moquer ?
Non. C’est une façon de désamorcer, de relativiser, de prendre du recul. Une façon de dédramatiser.