Méthée n’est pas un décor.
C’est une ville dense, vivante, contradictoire.
Une ville imaginaire, mais ancrée dans le réel. Une ville où les adolescents font des choix qu’on ne pardonne pas. Où les élus masquent la saleté avec des discours vides. Où les héros n’en sont pas, et où les salauds ne portent pas toujours le nom qu’on croit.
Je m’adresse à un certain type de lecteur.
Pas à celui qui cherche une évasion. Pas à celui qui attend des certitudes, des messages clairs, des personnages à aimer ou à haïr sans nuance.
Je parle à ceux qui aiment les univers cohérents mais fissurés, comme Gotham, Derry, ou Baltimore.
À ceux qui lisent des comics matures, qui savent que les cases ne contiennent jamais tout, et que la part d’ombre fait partie du décor.
À ceux qui aiment les romans noirs sans détective, les fictions sociales sans solution, les fresques urbaines où l’on revient parce que quelque chose dérange.
Si tu aimes que les récits laissent des traces, des malaises, des questions… Tu es au bon endroit.
Un monde traversé par la violence, les injustices… et les colères justes.
Ici, les lycéens s’organisent comme des armées, les élus s’agitent dans l’ombre, et la rue parle plus fort que les discours.
Mais Méthée, c’est aussi la mémoire d’un peuple, l’écho des luttes, des causes qu’on choisit, des convictions qu’on ne lâche pas.
Ceux qui y vivent doivent apprendre à tenir, à choisir, à oser — ou à s’effacer.
Un univers littéraire où la fiction interroge le réel, où chaque quartier révèle un combat, un passé, une promesse. À qui la faute ? Ce sera à toi de voir.
Bienvenue à Méthée.
✦ Trois portes d’entrée dans Méthée
Il n’y a pas d’ordre obligatoire. Chaque récit peut se lire seul. Mais tous dessinent peu à peu les tensions souterraines d’une même ville.
🧨 Dangereuses Amitiés
Le point de départ.
1990. Lycée Jean Moulin. Un élève discret, un groupe influent, une montée en puissance qui vire au poison.
C’est le roman des choix qu’on regrette trop tard, des amitiés qu’on confond avec l’emprise, et des silences complices.
C’est aussi là que surgissent les premiers noms : Lisa, Stéphan, Mike, Child… Ceux que tu croiseras ailleurs, transformés.
« Il ne voulait pas dominer. Juste ne plus jamais être dominé. »
🌉 Némésis
Le basculement.
2012. La ville a changé. Les injustices sont restées. Un homme ordinaire décide d’agir, seul, masqué, dans l’ombre.
Mais Méthée n’est pas faite pour les justiciers. Encore moins pour ceux qui croient au bien.
Un roman rontal, politique, désabusé. Ceux qui ont grandi dans Dangereuses Amitiés sont devenus des adultes… ou autre chose.
Et bientôt, viendra Némésis 2 – La Fin de leur monde : une guerre souterraine entre les visages du pouvoir, les justiciers brisés et ceux qui refusent de se taire. Plus violent, plus politique, plus tendu.
Mais parfois, même à Méthée, une voix suffit à fissurer le silence et à redonner espoir d’un monde juste.
« À force d’attendre la justice, on finit par la fabriquer soi-même. »
📖 Chroniques de Méthée
Les interstices.
Nouvelles. Fragments. Témoignages.
Des récits qui complètent, qui précèdent, qui creusent. On y découvre les coulisses du pouvoir, les habitants oubliés, les liens invisibles.
Ici, chaque silence devient une pièce du puzzle, chaque personnage secondaire une voix centrale.
Deux recueils existent :
- Les Voix de l’Ombre – récits parallèles aux romans
- Les Rouages du Chaos (à paraître) – récits situés entre Dangereuses Amitiés et Némésis, pour suivre ce monde qui s’effrite.
« À Méthée, il suffit de changer de badge pour devenir quelqu’un. »
🏙️ Méthée, ville vivante
Méthée n’a pas été dessinée pour servir de toile de fond. Elle est au cœur de chaque histoire.
Ses rues, ses places, ses immeubles, ses silences — tout parle.
C’est une ville imaginaire, oui, mais tissée de réalités : HLM et quartiers huppés, béton des ports, béton des cages d’escalier, tension sociale permanente, institutions à bout de souffle. Et au milieu, des habitants qui font ce qu’ils peuvent pour exister, résister, imposer leur voix.
Dans chaque roman, chaque nouvelle, on y entre par un autre accès : une école, un parc, un commissariat, une galerie marchande, une cave…
La carte ne change pas, mais elle se révèle par fragments.
Riche de lieux, Méthée ne peut jamais être saisie d’un seul regard : chaque œuvre en éclaire une partie, en explore un pan, en dévoile des zones qu’on ne voyait pas jusque-là.
C’est une ville de fiction. Mais il suffit d’y rester un peu pour sentir que tout, ou presque, pourrait exister juste au bout de notre rue.
🎬 Quand Méthée devient film
Certains récits étaient trop puissants pour rester sur la page.
Méthée a franchi les frontières du livre pour devenir image, son, matière.
Deux adaptations ont vu le jour, portées par la même exigence que les romans : donner chair à une ville qui ne dort jamais.
🎥 Au jour le jour
Adaptation libre et tendue de Dangereuses Amitiés, ce film plonge dans les conflits lycéens, la manipulation, et l’engrenage de la violence. Tourné avec sobriété, il met en lumière les visages d’une jeunesse qui vacille.
Réalisé en collaboration avec le lycée Sonia Delaunay de Villepreux.
🎥 Némésis
Adaptation directe du roman éponyme.
Un homme marche dans les rues de Méthée, masque sur le visage, colère dans le cœur. Le film capte l’ambiguïté morale du justicier et la tension de la ville avec un regard brut et sans concession.
Divertir, faire vibrer… et dénoncer
Je n’écris pas pour donner des leçons.
Mais je n’écris pas non plus pour décorer.
Méthée est un univers romanesque, oui.
Avec ses intrigues, ses personnages forts, ses drames, ses virages.
Mais c’est aussi un terrain d’exploration. Un miroir tordu tendu à notre monde.
À travers les récits, je questionne ce qui structure nos sociétés — ou les fracture :
les politiques qui promettent, les journalistes qui moralisent, les lois qui contournent, le système scolaire qui est à bout de souffle, les tribunaux qui ne répondent plus aux attentes du peuple, les discours qui masquent.
Pas de héros parfaits. Pas de méchants évidents.
Seulement des êtres humains aux prises avec ce qu’ils croient, ce qu’ils espèrent, ce qu’ils redoutent.
📌 Méthée n’impose rien.
Mais Méthée regarde.
Et elle oblige à regarder avec elle.
Échos de lecture
On entre dans Méthée par curiosité.
On en ressort un peu bousculé, un peu changé.
Les lecteurs en parlent mieux que moi.
« J’ai lu Dangereuses Amitiés d’une traite. Ça m’a ramenée à mes années lycée, mais en bien plus intense. »
— Mylène, 42 ans, prof d’histoire-géo
« Némésis m’a retourné. J’étais d’accord avec lui… jusqu’à ce que je ne le sois plus. Et c’est là que j’ai compris la force du livre. »
— Lucas, ancien éducateur
« J’ai lu une nouvelle. Puis une autre. Et encore une. Ces Chroniques, c’est comme descendre dans une cave en pleine nuit avec une lampe qui clignote. »
— Anaïs, libraire à Marseille
« Une écriture vive, directe, humaine. Méthée est une fiction, mais elle a plus de choses à dire que bien des journaux. »
— Karim, journaliste indépendant
« On croit lire une histoire, et en fait on lit une ville. »
— Patrice, lecteur sur Instagram
Les versions Deluxe
Lire un roman, c’est une chose.
Entrer dans un univers, en est une autre.
C’est pour ça que chaque roman de Méthée existe en version Deluxe :
une édition conçue pour ceux qui ne veulent pas simplement tourner des pages,
mais plonger dans la ville, la voir, l’explorer, en comprendre les secrets.
✨ Ce que contiennent les versions Deluxe :
🗺️ Une carte détaillée de Méthée, pour suivre les lieux, les trajets, les confrontations
🖼️ Des dizaines d’illustrations intérieures, exclusives, pour donner vie à la ville, à ses lieux emblématiques, à ses ambiances les plus fortes
📝 Une chronique totalement inédite, ajoutée à la fin du roman, qui raccroche l’histoire à l’univers global, éclaire un personnage, un événement ou un mystère en lien avec les autres œuvres
🧠 Une note d’auteur, pour contextualiser le roman dans la construction de Méthée
📘 Une couverture et une mise en page soignées, pensées comme un véritable objet-livre
